Raynald MERIENNE

Raynald Mérienne écrit et réalise, depuis plus de 25 ans, des films documentaires et des grands reportages consacrés à l’art, l’histoire, la culture et le patrimoine. Ses films sont régulièrement diffusés sur les antennes de France Télévisions. Il a notamment collaboré pendant plus de 10 ans à l’émission emblématique de France 3 « Des Racines et des Ailes », grâce à laquelle il a rencontré la Polynésie française.

Depuis, les cultures polynésiennes et la pensée océanienne exercent une puissante fascination sur son travail de documentariste, nourrissant les valeurs humanistes et universelles qui inspirent aujourd’hui ses projets, comme en témoigne son « Motu Haka, le combat des îles Marquises”, 2022. Passeurs de Lumière, ses films ambitionnent de raconter le monde et de nous raconter nous-mêmes, à travers un regard curieux et bienveillant qui célèbre la différence pour y puiser les enseignements les plus éclairants.

Lee Tamahori

Lee Tamahori, est un réalisateur néo-zélandais maori auteur de longs métrages de renommée internationale.Après l’énorme succès critique et commercial de son premier long métrage “L’Âme des guerriers” (“Once Were Warriors”), en 1994, primé dans de nombreux festivals, il travaille durant 20 ans à Hollywood, où il réalise entre autres le 20e James Bond “Meurs un autre jour” (“Die Another Day”) en 2002. Revenu en Nouvelle-Zélande, Il réalise « Mahana » en 2016 une adaptation du roman du grand écrivain maori Witi Ihimaera « Bulibasha: Roi des Gitans ».

« The Convert”, son dernier film de 2023, quasi inédit en France est présenté au Festival Rochefort Pacifique.

Niel Romero

Niel Darren Romero est un réalisateur de Guam créatif ayant plus de 15 ans d’expérience dans la réalisation, le montage, l’écriture, la conception graphique ou l’interprétation. Il croit que l’on peut à la fois éduquer, divertir et inspirer si l’on écoute son cœur et suit sa passion. Niel a captivé le public avec ses idées audacieuses et innovantes.

En 2011, Niel a cofondé “Project: Inspire” aux côtés de Justin Baldovino et Erani Zuñiga pour produire, écrire et réaliser leur premier long métrage “iHeartGU”. Aujourd’hui, aux côtés de leur équipe, ils utilisent leurs talents créatifs pour les projets “Dream Impossible“ et “Create Beyond” au service de la scène culturelle de Guam.

« Something to Call Our Own » est son nouveau long métrage présenté en première mondiale au Festival Rochefort Pacifique.

Kyle Perron

Kyle Perron et Nico Serneo sont des cinéastes de Guam. Après des études cinématographiques à San Francisco, ils ont créer leur société de production « Mighty Island” et réaliser des documentaires et des films culturels. Kyle Perron a été superviseur de la post-production du long métrage « The Last Smile ».Nico Serneo a travaillé comme caméraman sur des clips vidéo mettant en vedette des artistes hip-hop. Ensemble, ils ont réalisé les courts métrages comme « I Matai (The Dead).

« Tradewinds », sélectionné au FIFO 2025, est présenté au Festival Rochefort Pacifique.

Corinne Van Egeraat & Petr Lom

Corinne van Egeraat et Petr Lom sont un couple de réalisateurs de renommée internationale dont les œuvres primées ont été présentées en avant-première à Berlin, Venise, IDFA et Sundance et ont été projetées dans plus de 450 festivals à travers le monde et diffusées dans plus de 30 pays.

Ils sont tous deux membres de l’ “Academy of Motion Picture Art & Sciences” (USA) et sont des boursiers du “Edward Hillary Fellowship” de Nouvelle-Zélande, une bourse internationale dédiée à l’impact climatique mondial.
Ils sont motivés par la nécessité de créer des récits créatifs à partager au moyen de films qui vous marquent. Spécialisés dans les histoires d’urgence qui reflètent leurs valeurs de dévouement à la justice, ils travaillent avec un profond sens d’humilité et de générosité, considérant la narration comme une forme d’amour et d’amitié, un acte de don et de partage.
Cet idéal de solidarité les a inspirés à travailler au Myanmar pendant la majeure partie des dix dernières années sur plusieurs films.

Le film le plus réussi est “Myanmar Diaries”, qui a remporté le prestigieux Berlinale Documentary Award, ainsi que quinze autres prix internationaux, un film hybride sur la vie quotidienne après le coup d’État militaire de 2022, réalisé avec dix jeunes cinéastes birmans anonymes. Ce film entièrement sans générique incarne au mieux leur idéal de cinéma sans ego : l’équipe internationale du film s’est abstenue d’être citée publique par solidarité avec les cinéastes birmans anonymes.
Au cours des sept dernières années, ils ont également élargi leur champ d’action pour travailler sur des histoires de justice climatique :
“I Am The River, The River Is Me” (2024), un film sur le fleuve Whanganui en Nouvelle-Zélande, le premier fleuve au monde reconnu comme une personne morale.
“The Coriolis Effect” (2025), un documentaire créatif sur notre monde qui échappe à tout contrôle, se déroulant dans les îles du Cap-Vert, là où naissent les cyclones.

Ces histoires sur les droits de la nature et le changement de notre relation au monde naturel sont en phase avec leurs propres valeurs, car ils vivent à Schoonschip à Amsterdam, la communauté de maisons flottantes la plus durable d’Europe, développée par une communauté de résidents partageant les mêmes idées.

Anthony Pedulla

Anthony Pedulla commence la vidéo par des courts-métrages pédagogiques avec ses élèves dans le cadre de ses fonctions d’enseignant en Nouvelle-Calédonie, puis réalise des films sur les problématiques « jeunesse », avec des lycéens, comme “Le souvenir du Totem” ou ”De l’autre côté du miroir”.

« Bereziina », son dernier court métrage, couronné de trois prix au 26e Festival de La Foa en 2024 est présenté au Festival Rochefort Pacifique.